Personne ne souhaite le chaos , personne ne veut de nouvelles violences avec au milieu des confrontations des vitrines brisées , des voitures brûlées , des gilets jaunes et des policiers blessés ....Le bras de fer est allé beaucoup trop loin et on peut s'étonner que des gens aux responsabilités n'aient pas entendu les nombreuses alertes et compris le risque qu'il y avait d'aller trop loin dans les restrictions et dans les exigences à l'égard de la France dite d'en bas qui est en fait tout simplement le peuple ...Ce peuple qui a confié sa souveraineté à des élus et qui est renté de vouloir la reprendre en cas de trahisons et de graves manquements ....On a beau dire et répéter que ça ira mieux demain , il voit seulement que ça va très mal aujourd'hui ...Beaucoup souhaitent que l'on sorte de l'impasse , messieurs réputés très intelligents , voilà l'occasion de montrer vos grandes capacités intellectuelles et non pas les muscles de vos services d'ordre qui au demeurant n'en peuvent plus , ne tentez pas de berner ou de duper votre monde , les gens ne sont pas aussi idiots que vous voulez bien le penser et c'est à avoir trop joué sur votre prétendue supériorité que l'on en est là : les conséquences d'un manque d'humilité en quelque sorte ....Ne méprisez jamais le peuple , ses colères peuvent être terribles et difficilement maîtrisables sauf à sombrer dans une dictature , ce que personne ne souhaite et ce qui nous pend au bout du nez si ça cotinue ...YVONLABAUDRUCHE
Barbier : «il yaurait quelque chose de très populaire à faire, c’est la suppression de la redevance TV, car beaucoup de #giletsjaunes regardent la télé parce qu’ils n’ont pas d’autres distractions dans la vie» Ce mépris...
Ils ont passé leur vie à commenter la politique rencontrant les élites et tous les importants qui de loin ou de près ont ou ont eu une influence sur le destin de la France ....D'innombrables déjeuners ou petits déjeuners aux frais de la princesse c'est à dire bien souvent du contribuable pour se forger une opinion au milieu de gens bien comme il faut dans des décors somptueux ...Evidemment la France d'en bas , ils finissent par la voir comme ceux qu'ils ont l'habitude de côtoyer ...Aucune angoisse de fin de mois pour ces écharpes rouges ou blanches et c'est avec une certains suffisance voire avec mépris qu'ils observent ce qui se passe en ce moment ...Bien sûr les violences et la radicalisation effraient mais ces journalistes hautains ont oublié de remplir leur mission r de lanceurs d"alerte , tout bon journaliste aurait dû voir venir la tourmente ....YVONLABAUDRUCHE
L'ancien Premier ministre a encore (pour combien de temps ?) l'oreille du président de la République. Et il lui répète qu'il ne faut en rien donner satisfaction aux Gilets Jaunes. Obéissant, Macron acquiesce. C'est pourquoi le chef de l'État proclame fièrement : "Jamais de recul". Et il ajoute courageusement : "Je maintiendrai le cap". Car c'est bien sûr clivant de dire : "Je maintiendrai le cap" que de dire "Je maintiendrai la hausse des taxes"…
Le cap ? On ne voit pas bien ce que c'est. On va où ? Avec qui ? Comment ? Ah, mais ça on ne sait pas. Vraisemblablement nulle part. On y va en naviguant à l'aveugle. Mais on y va de façon déterminée et sûre.
"Après moi le déluge", disait Louis XIV. Dans son poste de commandement de l'Élysée, le capitaine a bloqué le gouvernail. Bayrou lui demande de l'infléchir et d'envisager peut-être un moratoire sur les hausses de carburant. Mais pourquoi Macron écouterait-il cette chiffe molle ?
Les propos virils et guerriers de Juppé flattent son orgueil de chef. Juppé, Macron : des hommes, des vrais ! Ils en ont… Et ce n'est pas parce que 84% des Français soutiennent les Gilets Jaunes qu'ils vont battre en retraite. Plus leurs adversaires sont nombreux, plus ils se trouvent héroïques.
Il devrait quand même se trouver quelqu'un pour rappeler à Macron l'année 1995, annus horribilis, quand Juppé était Premier ministre. Il eut à ce moment-là à affronter une grève de cheminots qui paralysa la France avec le soutien massif de l'opinion publique. Juppé fut d'abord inflexible. "Jamais de recul !" déclara-t-il 23 ans avant Macron. Puis, ayant enlevé ses bottes, il capitula.
L'ancien Premier ministre a encore (pour combien de temps ?) l'oreille du président de la République. Et il lui répète qu'il ne faut en rien donner satisfaction aux Gilets Jaunes. Obéissant, Macron acquiesce. C'est pourquoi le chef de l'État proclame fièrement : "Jamais de recul". Et il ajoute courageusement : "Je maintiendrai le cap". Car c'est bien sûr clivant de dire : "Je maintiendrai le cap" que de dire "Je maintiendrai la hausse des taxes"…
Le cap ? On ne voit pas bien ce que c'est. On va où ? Avec qui ? Comment ? Ah, mais ça on ne sait pas. Vraisemblablement nulle part. On y va en naviguant à l'aveugle. Mais on y va de façon déterminée et sûre.
"Après moi le déluge", disait Louis XIV. Dans son poste de commandement de l'Élysée, le capitaine a bloqué le gouvernail. Bayrou lui demande de l'infléchir et d'envisager peut-être un moratoire sur les hausses de carburant. Mais pourquoi Macron écouterait-il cette chiffe molle ?
Les propos virils et guerriers de Juppé flattent son orgueil de chef. Juppé, Macron : des hommes, des vrais ! Ils en ont… Et ce n'est pas parce que 84% des Français soutiennent les Gilets Jaunes qu'ils vont battre en retraite. Plus leurs adversaires sont nombreux, plus ils se trouvent héroïques.
Il devrait quand même se trouver quelqu'un pour rappeler à Macron l'année 1995, annus horribilis, quand Juppé était Premier ministre. Il eut à ce moment-là à affronter une grève de cheminots qui paralysa la France avec le soutien massif de l'opinion publique. Juppé fut d'abord inflexible. "Jamais de recul !" déclara-t-il 23 ans avant Macron. Puis, ayant enlevé ses bottes, il capitula.
Facile d'être héroïque quand bien à l'abri dans son manoir ou son palais servi par une armée de domestiques , on voit tout ça de très haut et de très loin; déjeunant à l'occasion avec des représentants des C R S , des gradés bien sûr mais les policiers de base surexposés ont besoin certainement d'autre chose que d'un flot de louanges et de propos compassés : ils voudraient bien que ça cesse : certes comme beaucoup , ils n'aiment guère le désordre mais en définitive , leurs préoccupations ne sont pas très éloignées de celles des gilets jaunes ...Ajoutons que la situation est telle que l'extrême droite va vite tirer les marrons du feu et reprendre ses vieux chevaux de bataille avec l'assurance d'être de plus en plus entendue ...Droits dans leurs bottes favorisant ceux qui ne dédaigneraient pas que nos soldats marchent au pas de l'oie .........YVONLABAUDRUCHE
Voilà deux W E que l'on voit à quel point le gouvernement maîtrise la situation ...Il suffit même de regarder la tête de Griveaux pour comprendre l 'ampleur de ce qui se passe et la sidération des ministres tellement sûrs de la justesse de leurs analyses et de la pertinence de leurs propositions ...C'est parce que la France d'en bas est longue à comprendre que ces gens là ne veulent que leur bonheur que ça achoppe,il suffit simplement de bien leur expliquer et de leur demander de patienter encore un peu . et les gilets jaunes vont reconnaître toute la majesté du petit prodige et de ses disciples et apôtres ...YVONLABAUDRUCHE
Le pouvoir est entre les mains d'une caste autour du roi Louis-Philippe, que Marx appelle l'aristocratie financière. Les bourgeois libéraux vivent dans le souvenir de la"Grande Révolution" (1789)et de Napoléon 1er. Des revendications ouvrières ont commencé à émerger, comme larévolte des Canutsà Lyon (1831).
Le roi Louis-Philippe est visé par de nombreux attentats dont celui de Fieschi, le plus meurtrier, en 1835, qui débouche sur une restriction de la liberté d'expression.
Interdits de réunion, les républicains contournent la loi en organisant à partir du 9 juillet 1847 des banquets qui réunissent des centaines de participants autour de quelques éminents orateurs. On en compte pas moins de 70 à Paris et dans les grandes villes du royaume au cours des sept mois suivants.
Sous la Monarchie de juillet, seule cette aristocratie financière détenait le pouvoir, etle suffrage était censitaire. Cela donnait l'impression que l'ensemble des autres classes (paysans,ouvriers,bourgeoisie industrielleetpetite-bourgeoisie) avaient un intérêt commun face à elle, intérêt qui s'expirmait dans la revendication de la République et lesuffrage universel. La révolution de 1848 a donc été un soulèvement populaire unitaire...
Déroulement
L'un de ces banquets ayant été interdit, les étudiants et les ouvriers manifestent le 22 février 1848 à Paris. Ils sont rejoints le lendemain par la garde nationale composée de petits bourgeois. La rue commence à se calmer quand le roi renvoie enfin son Premier ministre, le triste et impopulaireFrançois Guizot. Mais, le soir du 23 février, une manifestation dégénère devant le ministère des Affaires étrangères, sur le boulevard des Capucines. Un coup de feu entraîne une riposte des soldats. On relève une vingtaine de morts. Les barricades se multiplient.
Dans la nuit, Louis-Philippe rappelleAdolphe Thiers, qui l'a porté au pouvoir 18 ans plus tôt, mais le remède est sans effet. Reçu avec hostilité par la troupe stationnée au Carrousel, devant le palais des Tuileries, le roi se résout à abdiquer en faveur de son petit-fils, le comte de Paris, en confiant la régence à la duchesse d'Orléans.
La foule envahit le Palais Bourbon où siègent les députés. Les républicains commencent à se manifester. Un cri retentit :«À l'Hôtel de Ville !»
C'est ainsi qu'un petit groupe de républicains, à l'instigation de Ledru-Rollin et du vieux poète Lamartine (58 ans), gagne le lieu mythique de la Grande Révolution, celle de 1789. Lamartine, Ledru-Rollin, Arago, Dupont de l'Eure et Marie proclament dans la nuit l'avènement d'un gouvernement républicain. Ainsi naît la IIe République.
Devant un buste tutélaire de l'empereur Napoléon Ier, le présidentLouis-Napoléon Bonaparte (à droite) délivre ses instructions aux conjurés dans la nuit du 1er au 2 décembre 1851. De gauche à droite : son secrétaire Mocquard tient la liste des personnes à arrêter, le général de Saint-Arnaud tient les ordres militaires destinés au maréchal Magnan, Morny (par ailleurs demi-frère du président) glisse dans sa poche le décret le nommant ministre de l'Intérieur tandis que Persigny se tient fidèlement en retrait1. Estampe de Philippoteaux, gravée par E. Leguay, 1853.
Le matin du , Louis-Napoléon Bonaparte édicte six décrets proclamant la dissolution de l'Assemblée nationale, le rétablissement du suffrage universel masculin, la convocation du peuple français à des élections et la préparation d’une nouvelle constitution pour succéder à celle de la Deuxième République. Celle-ci, proclamée en février 1848 a duré moins de quatre ans.
Conclusion non seulement des difficultés que la Deuxième République rencontra pour s’imposer, mais aussi d'un conflit de trente mois avec le parti de l’Ordre, qui détient la majorité au Parlement, ce coup d'État marque la victoire des bonapartistes autoritaires.
Si le peuple de Paris réagit relativement peu pour défendre une assemblée conservatrice qui l’a dépouillé d'une partie de ses droits politiques, ce n’est pas le cas dans les zones rurales de près d'une trentaine de départements.
Dans certains endroits les républicains prennent les armes et marchent sur les chefs-lieux. La résistance menée à Paris ou en province par les républicains (Victor Schœlcher, Victor Hugo, Jean-Baptiste Baudin…), par des membres du parti de l’Ordre non ralliés (le père Lacordaire, le prince de Broglie) est écrasée par l'armée en quelques jours.
Si l'on compte plusieurs centaines de tués à Paris, il n'y a pas de bilan global des affrontements et exécutions sommaires d'insurgés menées par l’armée. Ainsi, dans le Var, les colonnes républicaines, mal armées, furent facilement dispersées par la troupe et il y eut entre 60 et 90 tués en quelques jours.
Sur l'ensemble de la France plus de 27 000 personnes sont arrêtées et inculpées. Cette résistance, présentée comme une jacquerie par la propagande bonapartiste, et la fermeté de la répression crédibilisent alors rétrospectivement le mythe d’une guerre sociale se préparant pour 1852, alimentant la peur des petits et grands possédants, qui se rallient au nouveau régime, recréant ainsi les conditions d'une alliance entre les bonapartistes et les cadres de la société pour les huit années suivantes. De fait, la propagande gouvernementale, relayée par le bouche à oreille, avait démesurément grossi quelques épisodes locaux : massacres de gendarmes désarmés, viols systématiques.
Face à la légalité constitutionnelle, à laquelle se raccrochent les défenseurs de la République, les bonapartistes préfèrent opposer le suffrage universel, autorité supérieure à celle de la Constitution, et la confiance directe manifestée par le peuple comme seule source de légitimité.
Conformément à son appel au peuple, Louis-Napoléon rétablit le suffrage universel masculin, et convoque les Français par un plébiscite les 20-21 décembre afin de faire approuver son action et les réformes annoncées. Moins d’un an plus tard, le 2 décembre 1852, à la suite d'un autre plébiscite, le Second Empire est établi, Louis-Napoléon Bonaparte devenant « Napoléon III, empereur des Français ».
La Commune de Paris est une période insurrectionnelle de l'histoire de Paris qui dura un peu plus de deux mois, du à la « Semaine sanglante » du 21 au 28 mai 1871. Cette insurrection contre le Gouvernement (issu de l'Assemblée nationale qui venait d'être élue au suffrage universel masculin), ébaucha pour la ville une organisation proche de l'autogestion ou d'un système communiste. La Commune est en partie une réaction à la défaite française de la guerre franco-prussienne de 1870 et au siège de Paris, ainsi qu'une manifestation de l'opposition entre le Paris républicain, considéré comme « rouge », et une Assemblée nationale à majorité monarchiste.
Il faut que le petit révise vite ses leçons d'histoire : les épisodes insurrectionnels sont assez fréquents dans notre passé et les étudier peut permettre d'en tirer quelques enseignements ...L'exécutif peut mettre en place l'Etat d''Urgence et même l'Etat de siège avec le recours de l' armée et pourquoi pas rêver d'un coup d'Etat ...Emmanuel Premier ,ça peut faire son effet mais pour instaurer une dynastie , il faudrait répudier Brigitte qui biologiquement ne peut plus donner d'héritier à la France et de toute façon sans son épouse , le petit est un peu comme Samson sans sa chevelure ,privé de ses forces ....Trêve de plaisanterie , l'heure est grave et cette semaine va être à marquer d'une pierre jaune n rouge ou blanche dans le quinquennat selon les options choisies ...Il va falloir beaucoup d'intelligence pour ne pas plonger le pays dans le chaos et pour préserver la démocratie ...La tentation va être forte d'avoir recours à l'autoritarisme ...... ... ... YVONLABAUDRUCHE
Impression d'un immense gâchis avec des gendarmes et des policiers (Qui sont des Français comme les autres de l'ordre )e exténués , des pompiers épuisés en alerte permanente, des gilets jaunes désappointées et des commerçants plusieurs fois victimes des dégradations totalement démoralisés ....Veuillez excuser ce rappel : nous sommes en démocratie avec un Président fraîchement élu sensé représenter tous les Français , avec des parlementaires mandatés pour relayer les souffrances et les doléances de leurs administrés , avec des syndicats pour défendre les conditions de travail et les rémunérations des travailleurs , avec de nombreux journalistes qui quotidiennement donnent des photographies de la société françaises ...Oui , ça ne fonctionne pas parce que sciemment ou pas les règles sont faussées par des puissances d'intérêts qui font pression sur tout ce beau monde , complice ou simplement gentiment complaisant pour ne pas perdre les avantages ou postes acquis parfois grâce à quelques mensonges, trahisons ou embrouilles ...Il aurait suffi de lire quelques lignes d'articles de blogs semblables au mien pour comprendre toute l'étendue des problèmes qui inéluctablement allait se poser ....Maintenant il est plus que temps de faire preuve de lucidité et d'arrêter le mépris et la fausse compassion ....YVONLABAUDRUCHE
En dehors de toute considération strictement partisane , conduire une politique qui finit par fédérer contre soi 85% des Français venus de tous horizons montre que l'on est totalement à côté de la plaque ...Le gouvernement est dans l'impasse et continue de s'enferrer...Et dire que des dizaines d'experts et de conseillers ont planché pendant des mois pour en arriver là ...Le très jeune président a présumé de ses capacités intellectuelles : gouverner un pays , ce n'est pas participer à la gouvernance d'ue banque fut elle de prestige ...Les puissances économiques et financières qui ont mis le petit prodige sur orbite n'ont pas bien mesuré quelles pouvaient être les conséquences de la mise en oeuvre d'un train de mesures impopulaires ... YVONLABAUDRUCHE
Des «gilets jaunes» face aux forces de l'ordre le 17 novembre aux abords des Champs-Élysées. / BERTRAND GUAY/AFP4000 policiers et gendarmes devraient être mobilisés dans Paris ce samedi dans l'espoir de tuer dans l'œuf «les troubles à l'ordre public et les phénomènes violents».
Hors de question de revivre de telles « scènes de guerre», pour reprendre la formule d'Emmanuel Macron, en plein Paris. Après le chaos de samedi dernier sur les Champs-Élysées, qui s'était soldé par une trentaine de blessés et plus d'une centaine d'interpellations, le ministère de l'Intérieur entend tenir la bride courte aux «gilets jaunes» appelés à défiler ce samedi par milliers dans la capitale. Pour «garantir la protection des institutions», «assurer le contrôle de l'accès au haut des Champs-Élysées» et «sécuriser de nombreux événements se déroulant dans la capitale», la préfecture de police (PP) de Paris prévient qu'elle va déployer une grosse «capacité de réaction et d'intervention» dans l'espoir de tuer dans l'œuf «les troubles à l'ordre public et les phénomènes violents». Au total, près d'une cinquantaine de forces mobiles pourraient être mobilisées, soit environ 4000 hommes venant en renfort.
Mieux vaut prévenir que guérir : une petite question me taraude l'esprit ...Puisque aujourd'hui , il semble possible d'endiguer les débordements pour que la manifestation se passe bien , pourquoi la semaine dernière alors que les services de renseignement ne pouvaient pas ne pas savoir que des éléments radicalisés allaient s'infiltrer a-t-on laissé les choses déraper ?...La stratégie du pire pour discréditer le mouvement n'ayant pas fonctionné , à l'évidence , on est passé à autre chose mais il faut bien savoir que le gouvernement qui ne cédera rien va probablement mettre en oeuvre un nouveau plan pour éteindre l'incendie qui effectivement gagne...Cette journée intéressante à observer va nous permettre en écoutant les commentaires des uns et des autres de savoir comment va se passer la suite ...Nous sommes à l'approche de Noël , de gros enjeux commerciaux sont sur la sellette et les gilets jaunes qui ont grandi dans une société consumériste ne seront sans doute pas insensibles à tous les gestes qui seront faits pour passer les fêtes de Noël sans trop de privations ...Les grandes enseignes vont développer des trésors d'ingéniosité pour aider le gouvernement à sortir du pétrin dans lequel il s'est mis ...Le système serait en péril si le consommateur se mettrait à ne plus vouloir se laisser mener par le bout du nez et ça fait des dizaines d'années qu'on laisse les gens s'endetter gravement pour mieux les rendre dépendants ....Bon samedi ...YVONLABAUDRUCHE
Jadis , le gueux le couteau entre les dents était en rouge , honni soit ce misérable qui aujourd'hui est en jaune , changement d'époque , changement de couleur avec des problèmes qui cependant( restent les même , ultérieurement en prenant mon temps , je développerai la problématique pour expliquer qu'en définitive , en dépit du temps qui passe et des présumées évolutions , les grandes constantes demeurent , le gueux ou prétendu tel est toujours celui qui paie les pots cassés ...Où est l'évoltion ? YVONLABAUDRUCHE
Et pendant ce temps, Poutine attend que les le Pen, Salvini, Orban lui livrent l'Europe dans un bel emballage-cadeau...
Un petit apprentissage au k G B ça vous forge son homme d'Etat qui sur l'échiquier mondial se comporte comme un vrai chef ... Ce n'est pas parce que l'on est à la tête d'une dictature que l'on ne peut pas donner des leçon de démocratie à tout le monde ...L'élection de l'échevelé américain qui isole l'Europe et lui cause de nombreux problèmes , d'une manière ou d'une autre , il l'a favorisée ...Nos deux surdoués français qui en ce moment sème une pagaille monstre favorisant le montée du populisme ce qui doit ravir le maître du KREMLIN vont devoir jouer très serré ...Je vois ça d'un peu plus haut et je m'inquiète pour l'avenir ....L'Europe porteuse d'espoir et qui nous a préservé de la guerre pendant de longues années ....Les politiques et les nantis obéissant plus à leurs intérêts financiers et économiques qu'au progrès social l'ont totalement dévoyée ...Messieurs activez vos neurones présumés très performants ...YVONLABAUDRUCHE
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Le blog de YVONLABAUDRUCHE à visiter sans modération et à conseiller aux amis et aux proches et à l'occasion à ceux que vous voulez moucher ...
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