Les nerfs à vif...

Dans une société où s'expriment plus les égoïsmes et les intérêts particuliers que la compassion pour autrui en dépit des grandes tirades et déclarations enflammées , difficile de garder son calme et son sang- froid  car les discours experts et moralisateurs vont bon train ... Les actions qui vont dans le bon sens sont systématiquement moquées et dézinguées par ceux  qui n'ayant rien amélioré ne veulent  surtout pas que ça aille un peu moins mal .....Les journalistes  pour la plupart têtes à claques du moment  trop gâtés par la vie  et  pervertis par la trop grande proximité  avec les  nantis en font des tonnes sur l'artificiel , le clinquant , le dérisoire , l'anecdotique , le sensationnel mais oublient délibérément certains sujets et thèmes dangereux pour leur carrière et pour la survie de leur journal....Ces faux-culs , pédants et suffisants devraient exaspérer au plus haut point .....Les décérébrés  gobent tout cela sans sourciller .....Le taux d'audience de certaines mixtures audiovisuelles le prouve .........YVONLABAUDRUCHE TOP SITE rubrique actualité .........

Comments

[JOJO]

Je crois qu'il faut rester sur nos raisons d'espèrer que ce gouvernement  réussira les réformes qu'il a entrepris, l'information ne m'intéresse pas plus que cela, on se rend compte que leur
intérêt personnel passe avént tout car ils ont peur à leur statut, Alors ils peuvent continuer à critiquer ce gouvernement poussé par leur patron , j'espère que les gens feront  leur propre
jugement sans suivre ces journaux comme des moutons. Ils commencent à faire des "bilans" alors que cela fait 6 mois qu'il est au pouvoir, je pense que pour l'instant il ferait mieux de faire le
bilan de ce que leur a laissé l'autre "excité"

[jeanne17]

et c'est bien là le problème du journalisme en France depuis quelques années, tous programmés pour désinformer dans la mesure où leurs patrons sont tous ou en grande partie dans la finance ou à
la tête de grandes entreprises du CAC40, tant que les choses de ce point de vue ne changeront pas (une interdiction pure et simple de l'ouverture des journaux au grand patronat) il n'y
a plus rien a espérer de bon.