Des élèves qui disjonctent ou transgressent, les professeurs en ont tous en mémoire mais leurs exploits (ceux des enfants)ne se retrouvaient pas à la une des
journaux. Plus les fautifs sont jeunes ,plus c'est vendeur....Jadis ou naguère pour une époque pas encore très ancienne mais dans des temps où vedettes, hommes politiques et grands
sportifs gardaient leurs nerfs et leur sang -froid,les débordements des jeunes étaient traités de manière consensuelle avec discrétion et efficacité.....Faute d'avoir la volonté de
s'attaquer à la racine du mal , on en décrit avec délectation et non sans arrière- pensées les symptômes.On joue à se faire peur et surtout à faire peur aux autres car une société
apeurée, divisée et fragilisée se manipule plus facilement....La question est jusqu'où on peut aller trop loin? Jouer avec les peurs comporte certes des avantages mais aussi des risques
que les plus avisés ne mesurent pas toujours très bien .....Transformer les établissements scolaires en bunkers avec une version payante pour les nantis n'est à priori pas la
meilleure solution pour promouvoir le pays des droits de l'homme actuellement à la recherche d'une identité......YVONLABAUDRUCHE......