Quand on aime, on ne compte pas : oui mais voilà un général rompant avec les traditions de la grande muette , s'est cru autorisé( sans doute l'était-il?) car d'autres et non des moindres l'avaient précédé dans l'exercice à évoquer le prix pour retrouver les journalistes en Afghanistan....Qu'allaient-il faire dans cette galère? Leur travail.....Qui consiste à ne pas se contenter des informations distillées par les militaires chargés de la communication..... La mise au pas des professions dérangeantes dont les journalistes fonctionne partiellement à Paris, bien au chaud , à l'abri dans les rédactions pour les carrièristes et courtisans de tout poil quoiqu'il existe une résistance passive....Quant aux grands reporters ces gens là ne sont pas de la même essence, ils ont embrassé le métier par passion, ils informent au péril de leur vie et s'ils peuvent se laisser capturer, ils ne se laissent pas acheter.... On parle rarement d'économies quant il s'agit de se doter des derniers gadgets militaires ou pour pour réaliser des voyages et des receptions somptuaires....Tout cela c'est parait-il pour la bonne cause(ça reste à prouver)....Pour moi , la bonne cause : c'est de récupérer dans les meilleurs délais, sans plus de remarques indécentes ,deux ressortissants qui sont l'honneur de leur profession et de la France.....