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Par YVONLABAUDRUCHE
Il ne va pas être embarrassé longtemps le président du Sénat car la formulation de ce prétendu dilemme nous laisse entrevoir la suite ...Après quelques contorsions et explications juridiques alambiquées , la montagne accouchera d'une souris ....Le président de la commission d'enquête sera félicité pour son travail avant d'être désavoué ...Les sages sont ainsi , ils n'aiment pas les vagues et surtout pas celles qui risquent d'éclabousser leur vénérable institution ...Un seull objectit : continuer à pantoufler longtemps sans trop d'ennuis ...YVONLABAUDRUCHE
Quelle suite donner à la commission d’enquête sénatoriale sur l’affaire Benalla ? Le sujet pose question jusqu’à la présidence de la Haute Assemblée alors que trois des principaux collaborateurs d’Emmanuel Macron ont été mis en cause.
Le malaise s’insinue au sein du Sénat. La cause de cet embarras : le rapport sur l’affaire Benalla rendu public la semaine dernière par la commission d’enquête de la Haute Assemblée. Selon nos informations, la lettre qui accompagne ce document – dont les conclusions, elles, ont été votées à l’unanimité, à l’exception des sénateurs LREM qui se sont abstenus – pose un vrai dilemme au président LR du Sénat, Gérard Larcher. Cette lettre signée par Philippe Bas, le président LR de la Commission d’enquête et par les deux rapporteurs, Jean-Pierre Sueur (PS) et Muriel Jourda (LR) demande à Gérard Larcher, de saisir le Bureau du Sénat afin d’être autorisé à engager des poursuites par la saisine du Parquet.
Cette procédure vise l’ancien chargé de mission de l’Elysée, Alexandre Benalla, et son acolyte, Vincent Crase, pour « faux témoignage. » Mais aussi Alexis Kohler, secrétaire général de l’Elysée, Patrick Strodza, directeur de cabinet de l’Elysée, et le général Lavergne, chef du Groupe de sécurité de la présidence, ces trois des plus hauts collaborateurs d’Emmanuel Macron visés, eux, pour « omissions et contradictions
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