"L'offensive des Cents Jours." Theresa May et le Prince Williamcommémorent ce mercredi 8 août le centenaire la bataille d'Amiens, point de départ d' une série d'attaques qui repoussèrent les forces allemandes de plus en plus loin, aboutissant à la défaite du Reich et la signature de l'armistice le 11 novembre 1918.
Des hauts représentants canadiens, américains, australiens, irlandais et nord-irlandais, et l'ancien président allemand Joachim Gauck seront également présents pour rendre hommage aux dizaines de milliers de soldats morts pendant cette bataille, premier succès des alliés passant résolument à l'offensive dans le Nord du pays.
Côté français, le grand absent se nomme Emmanuel Macron. Le président de la République, actuellement en congés dans le sud de la France ne fera pas le déplacement dans sa ville natale. En vacances dans un lieu tenu secret - qui pourrait bien être les Hautes-Alpes - le chef du gouvernement Édouard Philippe ne sera pas de la partie non plus. C'est la ministre des Armées Florence Parly et sa secrétaire d'Etat Geneviève Darrieussecq qui représenteront le pays et accueilleront Theresa May et le Prince William.
Amiens , c'est pourtant là où il a passé sa jeunesse écourtée assez vite , il est vrai tant certains enseignements l'ont fait très rapidement mûrir ...La cathédrale y est à la mesure de son ambition , c'est à dire la plus vaste d'Europe mais ni le président de la République ni son double de premier ministre n'iront représenter la France dans la capitale picarde ..De quoi dépiter la tour Perret et toutes les personnalités étrangères venues d'Angleterre , du Canada , d'Amérique , d'Australie , d'Irlande pour rendre hommage aux dizaines de milliers de soldats qui au cours de la bataille d'Amiens ont fait le sacrifice de leur vie pour remporter une victoire décisive dans un conflit très meurtrier ...Sacrifier une journée de vacances était certainement trop coûteux pour les deux principaux personnages de l'exécutif ...De toute façon , ils ont les cartes en mains et en conséquence agissent à leur guise considérant avec mépris nos critiques forcément basses ...YVONLABAUDRUCHE