Origines
Sébastien Jumel est le fils d'un père soudeur « anarcho-syndicaliste » adhérent à la CGT et d'une mère de « culture catholique », travaillant en maison de retraite1. Il passe une partie de son enfance à Caucriauville (Le Havre).
Études
Après une scolarisation dans un collège en ZEP de la ville de Gonfreville-l'Orcher, il est diplômé d'un baccalauréat en sciences économiques (1989), d'une licence en administration publique (1992) et d'un DEA en droit et gestion des collectivités locales de l'université d'Aix-en-Provence.
Porter la voix du peuple devrait être en effet la principale fonction de ses représentants ...Si l'on fait abstraction des godillots au panurgisme flagrant , beaucoup de députés se laissent séduire et acheter par des lobbies puissants et très présents à l'assemblée nationale ( En témoigne l'affaire du glyphosate )....Quand on envoie l'un des nôtres au Palais Bourbon , c'est en général pour qu'il transmette sans les trahir nos doléances , bien souvent , au final après quelques mois de mandat , la déception est grande...Evidemment les interventions de Sébastien Jumel fréquentes et très pertinentes ne peuvent que nous réjouir , la région dieppoise n'a pas envoyé siéger à Paris un opportuniste ou une chiffe molle ...Les attaques brutales et répétées diu gouvernement à l'encontre de la fonction publique et le délabrement orchestré du code du travail et des acquis sociaux dans le privé pour la bonne cause bien sûr devraient faire sortir de leurs gonds ceux dont la mission consiste à plaider la cause de ceux dont les élites économiques et politiques de concert matraquent les droits ... Les émissaires qui osent publiquement se lancer dans l'hémicycle majoritairement gagné à la cause droitière et libérale dans des réquisitoires marquant la désapprobation de la France dite d'en bas sont fort peu nombreux : Jumel est de cela et au risque d'être redondant , je me fends d'un nouvel article pour saluer un courage pas si fréquent ...
Assemblée nationale. Alors qu’Emmanuel Macron a jugé mardi qu’il n’était « pas raisonnable de reconnaître un crime d’État sans avoir les preuves », les députés PCF et Cédric Villani envisagent la création d’une commission d’enquête, « si elle peut être utile dans la recherche de la vérité ».