Au moins un article quotidien qui en général traite de l'actualité avec humour et sans complaisance pour ceux dont les comportements et mœurs nous irritent profondément ...Blog très fourni avec les commentaires avisés de visiteurs devenus des amis au fil du temps ...Opiniâtreté hors du commun et des relais sur les réseaux : face book ,Twitter ,Marianne, ...Soyez nombreux à cliquer sur ce site ...
Pour sûr la proximité d'une centrale nous conférait quelques avantages et nous étions une commune privilégiée, nous sommes entrés au sein d'une commune nouvelle parce que disait-on c'était inéluctable et dans la logique avec à la clé le versement de quelques subsides de l 'Etat pour bonne conduite ...Nous n'avons rien vu venir à l'exception des mauvaises nouvelles , augmentation conséquente du foncier bâti , report des projets , limitation des aides et subventions et dernier cadeau , augmentation de 50% des factures d'eau ....C'est un peu comme pour la SNCF , nous étions des privilégiés et nous l'ignorions voilà que l'on se met à lisser par le bas et on morfle....Que ceux qui se réjouissent modèrent leur enthousiasme demain immanquablement ce sera leur tour ....Activer les envies et les rancoeurs , c'est une stratégie qui à priori marche bien pour ceux dont les rétributions et indemnités les placent bien au dessus de la mêlée ........YVONLABAUDRUCHE
Une étude de la Confédération générale du logement publiée ce mardi 10 décembre révèle que les Français ne paient pas leur eau au même prix selon l'endroit où ils habitent.
Réalisée dans 6.328 communes, cette enquête a pu établir le prix moyen du mètre cube d'eau par département (sur une base minimum de dix prix). Il varie de 2,47 euros dans les Vosges à 5,72 euros dans le Tarn-et-Garonne, alors que la moyenne nationale est de 4,15 euros. 5, 81 euros pour notre commune ...
Cela dépend des pays, voire même dans certains d’entre eux des régions.
Mais dans la plupart d’entre eux c’est le plus souvent la collectivité organisatrice du service de l’eau (une commune, une région, un syndicat de communes) qui fixe le prix de l’eau, comme celui de l’assainissement, la plupart des taxes étant fixées par l’Etat. Ce prix est fixé uniquement par cette collectivité si elle gère directement le service. En cas de délégation du service à une entreprise privée, ce prix est arrêté par la commune après négociation d’un contrat à moyen ou long terme entre les deux parties, lequel fixe les conditions d’exploitation et de suivi du service et détermine les formules de variation de ce prix sur toute la période.
Toutefois, dans de nombreuses régions, notamment rurales et parfois périurbaines des pays en développement, ce sont des Comités de gestion ou des Associations d’habitants gérées par ces derniers qui ont pris l’initiative de créer et de gérer les petits services d’eau ou d’assainissement et ce sont alors les organes délibérants de ces instances qui en fixent le prix ou les cotisations (Voir les fiches C5 à C8)
Tout dépend de l’endroit où l’on habite et s’il y a ou non des compteurs.
Dans certaines zones rurales des pays au développement, la facturation est forfaitaire, le montant du forfait étant parfois variable et fonction de l’usage (domestique, agricole, famille nombreuse ou pas…) et d’une estimation de la quantité d’eau usuelle.
Le système du forfait est loin d’être le plus répandu et n’est en général pratiqué que si les consommations en eau sont assez faibles et assez homogènes parmi la population. C’est un choix de la communauté.
Mais la plupart du temps, et notamment dans tous les endroits où il y a des compteurs, l’eau est facturée au volume, généralement au m3, sur la base de relevés périodiques plus ou moins espacés et sur production de quittances, puis elle est payée (d’avance ou après consommation selon les lieux) par ses utilisateurs par voie bancaire ou en espèces dans des services ou agences spécifiques.
Toutefois dans de nombreux pays, l’eau n’est facturée qu’en partie au volume, la facturation appelée alors « binôme » étant l’addition d’un terme fixe indépendant de la consommation (souvent appelé « abonnement » comme pour l’électricité ou le téléphone) et d’un terme variable fonction du nombre de m3 consommés
Pour le prix au m3, nous sommes les meilleurs ....Et ça ne semble pas émouvoir plus que ça ! Nous avons certainement beaucoup investi pour la bonne cause bien sûr , dans ce domaine là depuis fort longtemps nous sommes aussi de grands champions et pas grand monde pour demander des explications ...A quoi ça sert d'avoir plus de 200 conseillers et une ribambelle de maires délégués ?