Petit: Tu và érchuvouéer eune make su etn' étoufouér (tu va recevoir une gifle sur ton nez).

Les petits qui énervent finissent parfois par recevoir la <<torgnole>> qu'il mérite , ce peut être le cas échéant une claque électorale ...Que je le dise en Picard n'est pas anodin , on peut  tenter d'oublier ses origines , pour moi comme pour d'autres  elles se rappellent à nous , surtout quand  au fil du temps après quelques coups de menton inappropriés  les affaires se corsent ...User et abuser d'anglicismes pour impressionner les péquenauds et pour flatter le nec plus ultra de l'économie et de la finance ne dispense pas de garder les pieds sur terre et c'est le sens de ma mise en garde du jour à l'attention de Jupiter qui du Haut de son Olympe semble être atteint de l'ivresse des sommets ....L'originalité de ce billet dans la forme et dans le fond n'échappera à personne sauf peut-être à celui qui est le plus concerné ...Dommage .....YVOINLABAUDRUCHE 

Comments

[Jeanne]

J'aime les patois des régions d'autant qu'ils me parlent au plus profond du cœur.
"Jupiter du haut de son Olympe" devrait faire attention à la chute cette dernière ayant toujours un rapport étroit avec le niveau et l'angle de son point de départ. Il fait du ski il doit connaître la question mais se croit intouchable c'est là son point faible.
Quant aux fessées je crois bien que ses parents ont toujours respectés son intégrité car il a tout de l'enfant gâté qui a toujours obtenu ce qu'il désirait et à qui il ne fallait pas dire "non".
Bouscas, peut être plus que tu ne penses, mais soyez tranquilles il y en a un autre qui pointe le bout du nez pour prendre la place "Louis " enfant lui aussi terriblement gâté, toujours à l'affût de ce qui se passe en France et prend parti sur beaucoup de sujets, éh à moins qu'il prenne la parole du grand père pour argent comptant et brigue La Maison Blanche qui sait !

[bouscas]

Un ami m'a envoyé ce texte, marrant et un peu au goût du jour.

Mes chers amis voici le récit d'une de mes journées...

Il a neigé toute la nuit. Voilà ma matinée.
08:00 : je fais un bonhomme de neige.
08:10 : une féministe passe et me demande pourquoi je n'ai pas fait une bonne femme de neige.
08:15 : alors je fais aussi une bonne femme de neige
08:17 : la nounou des voisins râle parce qu'elle trouve la poitrine de la bonne femme de neige trop voluptueuse.
08:20 : le couple d'homo du quartier grommelé que ça aurait pu être deux bonshommes de neige.
08:25 : les végétariens du n°12 rouspètent à cause de la carotte qui sert de nez au bonhomme. Les légumes sont de la nourriture et ne doivent pas servir à ça.
08:28 : on me traite de raciste car le couple est blanc.
08:31 : les Musulmans de l'autre côté de la rue veulent que je mette un foulard à ma bonne femme de neige.
08:40 : quelqu'un appelle la police qui vient voir ce qui se passe.
08:42 : on me dit qu'il faut que j'enlève le manche à balai que tient le bonhomme de neige car il pourrait être utilisé comme une arme mortelle. Les choses empirent quand je marmonne : « ouais; surtout si vous l'avez dans le .... ».
08:45 : l'équipe de TV locale s'amène. Ils me demandent si je connais la différence entre un bonhomme de neige et une bonne femme de neige, Je réponds: «oui; les boules » et on me traite de sexiste.
08:52 : mon téléphone portable est saisi, contrôlé et je suis embarqué au commissariat
09:00: je parais au journal TV; on me suspecte d'être un terroriste profitant du mauvais temps pour troubler l'ordre public.
09:10 : on me demande si j'ai des complices.
09:29 : un groupe djihadiste inconnu revendique l'action.
Morale : il n'y a pas de morale à cette histoire. C'est juste la France dans laquelle nous vivons aujourd'hui.
Bien sûr ce n'est qu'une blague....

[Jeanne]

Bien ! très bien même,
La morale est bonne, c'est bien ce que nous vivons et je me demande bien comment nous allons pouvoir en sortir par le haut. Plus tard on appellera cette période ... "la Fronde".

[bouscas]

"bas t'en prendré uno sur t'oun naz" on aurait dit chez moi, je ne suis pas sur de l'orthographe, et je ne suis pas sur que nous soyons assez nombreux encore pour la lui donner.